-

 PATRIMOINE ET HISTOIRE !

Saviez-vous que L'Économique était une chaîne de magasin d'alimentation rennaise, installée en mars 1912 à Rennes ?
Dès 1958, Les Comptoirs modernes prendront successivement le contrôle des groupes succursalistes régionaux français : Brisset, Amiot, l'Économique de Rennes, L'Union commerciale de Meaux, Badin-Defforey, Major-Unidis.
Les Comptoirs Modernes-Badin-Defforey (CMBD) était une société basée à Saint-Sorlin-en-Bugey dans le canton de Lagnieu.
Mais notre magasin l’Economique de St Laurent de Mure semble être issu ou était une « succursale » du groupe SOCIETE ECONOMIQUE D'ALIMENTATION, dont le siège social se situait au 8 rue Lamothe, à Lyon, et qui a compté jusqu’à 600 magasins de vente dans la région, à en croire la publicité parue dans la Semaine religieuse du Diocèse de Lyon en 1937.
S'agissait-il du même groupe que celui de Rennes, ou celui de Rives créé en 1900 et qui a cessé son activité en 1984, nous n'en savons rien... il faudrait poursuivre les recherches...
L'Annuaire Fournier de 1934 nous fournit simplement la liste des magasins lyonnais, ce qui représente déjà une centaine d’adresse, mais sans mention des numéros de succursales.

BIENVENUE SUR LE BLOG DES AMOUREUX DE NOTRE VILLAGE

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

-
Image
  AUJOURD'HUI C'EST SAMEDI ! JOUR IDÉAL POUR LUI RENDRE  UN   DERNIER HOMMAGE ! A notre ami René BALFIN, qui nous a quitté il y a quelques jours... René Charles né le 03 Février 1949 à Bron. Ses parents Vincent Louis et Hélène natifs de Saint Laurent de Mure, ont eu 3 enfants : Jean-Paul l’aîné, Claude et René les jumeaux. Ses parents tenaient une ferme, Rue de Couloud à Saint Laurent de Mure. Toute la scolarité de René s’est faite à Saint Laurent de Mure : en maternelle dans la maison Focachon (actuel CP) avec Melle Prat et en primaire dans les locaux de l’actuelle Mairie avec Mme Barbier. René fait son apprentissage et devient ouvrier tripier aux abattoirs de la Mouche à Lyon. Suite à un licenciement, il décide d’acheter un fourgon Peugeot frigorifique d’occasion pour devenir commerçant ambulant. René se rend à Lantosque dans les Alpes Maritimes avec son frère jumeau pour « faire son armée » comme on disait à l’époque. Jeune, il aime les voitures de course et il ...
Lire la suite
-
Image
  PATRIMOINE ET HISTOIRE LE BOIS DU BARON     Cette vieille bâtisse qui a fait tant parler les enfants, imaginant toute sorte de monstres et de fantômes à l'intérieur, a probablement été construite sous le règne de Louis XVI ou Louis XV dit-on... mais des doutes subsistent encore... Cette maison bourgeoise est appelée par les Laurentinois "Château du Baron"... De style Second Empire, implantée au sommet d'un immense parc de plus de deux hectares, comprenait le vaste "Clos de la Foire".   Le bois du baron du domaine des Garnier-St Laurent a été acheté par Claude Bied , un notaire royal sous l’ancien régime et un des premiers maires « républicains » de Saint Laurent de Mure. Sa fille Louise en héritera au moment de son mariage..   Mais ça, c'est une autre histoire !!      Jacques Coche , avocat au parlement de Grenoble, avait épousé Louise Bied, fille de M. Bied, notaire royal à St Laurent de mure. Le contrat de mariage stipule que...
Lire la suite
-
Image
  LES GENS D'ICI  PRIEURÉ DE POULIEU ! EXTRAIT DE LA REVUE DU LYONNAIS – JUILLET 1898 Voici un texte ancien de plus de 400 ans ... « Visite pastorale de Mgr de Marquemont (1613-1614)» par Paul Richard « A Poulieu, dans la paroisse de Saint Laurent de Mure, se trouvait un prieuré uni à la manse abbatiale d’Ainay où il y avait une vieille dévotion à Saint François Régis. Il y a même encore dans l’église paroissiale de Saint Laurent de Mure un vieux tableau représentant les principaux faits et miracles de la vie de ce Saint, avec l’explication -….- au bas de chaque sujet. Ces vers ont malheureusement subi des réparations maladroites qui en altèrent le sens » Source : Archives du Rhône – Visites pastorales
Lire la suite
-
Image
  NOTRE VILLAGE AUTREFOIS ... La richesse de nos sous-sols.... Encore une petite trace retrouvée dans une vieux journal, le "Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire" du 19 septembre 1915 et qui explique que M. Marcel Holtzer, administrateur de la Société Minière des Bassins du Rhône, sollicite une concession minière sur notre village et les villages alentours. On vous laisse en prendre connaissance... Pour précision, le prix de ce journal à l'époque était de 5 centimes d'anciens francs ou 1 sou ! Un franc de 1900 valait 20 sous... soit 3.27 euros d'aujourd'hui .. donc notre journal de 1915 coûtait en fait 16 centimes d'euros .. Et voilà, les temps changent !!!
Lire la suite
-
Image
  PATRIMOINE ET HISTOIRE ! Dans toutes les guerres, les familles sont touchées de plein fouet. Et les monuments aux morts de nos villages sont là pour nous le rappeler. Ils ont été érigés pour que l’on n’oublie pas et pour laisser une trace aux générations futures… Mais avez-vous jamais observé sur notre monument aux Morts l’inscription de l’entreprise de pierre, une coopérative ouvrière qui se trouvait au 146 avenue Berthelot à Lyon 7ème, qui avait participé à l’élaboration de celui-ci ? Cette entreprise était dirigée par Louis Moine, à l’époque où le monument aux morts a été mis érigé, en 1920 très exactement. Notre monument fut inauguré par Joannès Reverdet le 8 mai 1921, jour de la fête nationale de Jeanne-d’Arc : les Laurentinois se rassemblent à l’occasion de cette inauguration pour se recueillir devant ce monument élevé par souscription à la mémoire des enfants de la commune tombés pour la France. « La vie recommence ou plutôt elle continue. Les générations succèdent aux...
Lire la suite
-
Image
  PATRIMOINE ET HISTOIRE ! NOS VOISINS les MUROIS… autrefois Hameau de Saint Laurent de Mure L'hospice de Mures existait déjà au XIIe siècle. Fondé par les chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, cet hôpital et hostellerie tout à la fois avait pour fonction d'accueillir le voyageur, pèlerin malade ou bien portant, à l'arrivée de sa première étape, au sortir de Lyon. Mures se trouvait, en effet, sur la route de Rome et des grands pèlerinages en Terre Sainte. Le temple de Vaulx, relevant du même ordre hospitalier, en était la deuxième étape. L'hospice de Mures dépendait de la commanderie de Saint-Georges de Lyon. Il était placé sous la protection militaire des seigneurs de Pusignan à la suite d'une transaction entre le commandeur de Saint-Georges et Hervé de Pusignan, par laquelle le commandeur s'engageait à payer chaque année «50 sous viennois à celui qui prendra les hommes de Mures sous sa sauvegarde » (en 1320, selon les archives du Rhône concernant l'ordre ...
Lire la suite