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 HISTOIRE ET PATRIMOINE 

RICHESSES DU SOUS-SOL LAURENAIS !



François Walckeaner, né le 18 juillet 1889 à Le Pecq dans les Yvelines (78) est issu d’une famille de la noblesse française .
Capitaine aviateur, chef d'escadrille, il reçut la Croix de guerre pour la 1ère guerre mondiale, et fut fait officier de la Légion d’honneur.
Polytechnicien entré second et sorti major de l'Ecole (à l'inverse de son père), il reprendra son métier d'ingénieur et sera, avant la guerre de 1939, jusqu'en 1934 directeur de l'usine du Creusot, détenue par la branche cadette des Schneider alors que lui-même était par sa femme, Marie Chabert épousée en 1919, de la branche aînée.
Et bien figurez-vous que cet illustre personnage s’est occupé des mines de houille sur notre village et dans les environs.

Il a demandé en date du 27 juillet 1934, agissant au nom de la compagnie des Houillères lyonnaises dont il était l’administrateur, que soit réduite la concession des mines de Mions instituée par décret du 9 décembre sur les communes de St Priest, Genas, St Bonnet de mure, St Laurent de Mure, Toussieu, Saint Pierre de Chandieu, Moins, Chaponnay, Corbas à l’époque dans l’Isère.
François servira ensuite au Siège général des Schneider à Paris. Il terminera sa carrière comme président de la Société Normande de Métallurgie à Mondeville (près de Caen), dévastée par la guerre et à refondre entièrement.
Il aura à la mort de son père le titre de baron, et la propriété du Paraclet, près de Nogent sur Seine .

(Source : H. Tourret)

Voici donc le document à l’appui parlant de notre village : Journal Officiel de la République Française du 1er novembre 1934.



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